RP sans 'R'

Citation :: Connaissez vous le conte de la petite éponge ?

Que fais-je ici ? Qui je suis ? Quel est le fait que je sois tout mouillée ? Quel est donc cet objet ou on m’a posée ?

Tiens voila quelqu’un qui vient à coté de moi. Oh mais qu’est ce que c’est que cette extension de lui ? Je suis maintenu dans un substitut de main. On m’emmène en voie d’un espace totalement plat, et visiblement fait de bois. On me pose dessus, puis on me déplace aisément. Je ne suis pas un objet ! J’ai une conscience moi aussi ! On ne m’utilise pas comme cela ! Oh, mais quelle est cette substance blanche et visqueuse ? A ce que je sens, cette tâche est gênante. Dés que je suis dessus, mon goût me lègue une sensation inconnue de mon moi-même. Ce fumé me fit comme un tilt dans mon âme. La sensation est gluante et quelque peu dégoûtante, comme si cela venait d’une dimension non connu à ce moment la.

Une fois passé quelque temps dessus, on m’envoya à ma place de base. De l’eau coula, je me sentis mieux, comme lavé de mes péchés. Mon utilisation était inconnue de moi-même. Oh tiens voila que l’eau n’est plus la. Un plan en faïence était maintenant face à moi. Ce contact était glacé, comme si un glaçon avait été apposé dessus mon délicat pelage. Les mouvements étaient cassants, on m’usait jusqu’à la mœlle. Cela faisait des années que je dégustais ceci sans blâme. Ma peau tellement fine, était en contact avec cet élément sec. Je lachais facilement tout mon liquide que je stockais dans moi.

Une fois n’est pas d’habitude, le chemin jusqu'à cette bassine métallique fut de mise. Et aussitôt, je fus complètement secoué. Je tombais dans cette fosse ou s’entassais quelques ustensiles, d’où l’utilisation m’était complètement inconnu. Un machin en bois avec un bout la était à mes cotés, ainsi qu’un bidule en aluminium sale à un point qu’il sentait mauvais. Sauf que je n’avais pas de mains.

Cette même extension du début, m’utilisa à nouveau. Je fus soulevé en haut, puis on me plia en deux, en utilisant mon coté feuille. Le mouvement était dynamique, je me sentis complètement zinzin. La puissance du mouvement étant sans conteste athlétique et intense. Quand ce fut fini, je ne vis pas ma base, laissant mes amis ustensiles tout seul. Puis j’analysai le mouvement que j’effectuais. Des choses semblables à moi étaient disposées dans un sachet en plastique. J’avais donc de la famille, et on m’avait fait fi de cela ? Je chicanais cette décision de toute mon âme.

Ma vue fut donc finie dans un immense sac en plastique, ou des déchets puants et dégoûtant s’entassaient. Je vis de la viande, des légumes mais aussi des choses inconnu, comme ce machin en latex tout aussi étonnant que moi. Je me lassa de cette position, et clôt mes yeux, laissant une nuit sans fin dans mon âme. Mon souhait était que quelqu’un m’utilise à bonne escient …

Trus de dingue o.o" Chapeau

» Episode 118 : L'homme sans marque
» Un enlèvement sans bavure s'il vous plaît !

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